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Le Grand soir,

de Benoît Delépine et Gustave Kervern SourireSourireSourire

Deux demi-frères : Benoît Poelvoorde incarne « le plus vieux punk à chiens d’Europe » et Albert Dupontel, après avoir été un commercial dans le droit chemin, va désormais suivre les traces de son frère.

Il craque après son licenciement et tous deux partent dans un road trip où le désespoir et le rire s’entremêlent en permanence. Inadaptés qu’ils sont (titre de la chanson de Cantat qu’on entend dans le film), ils errent sous les yeux désabusés de leurs parents (Brigitte Fontaine et Areski…), propriétaires d’une pataterie dans une banlieue commerciale. Bientôt ils voudront déclencher le « grand soir »…

Un critique a très justement décrit le film dans l’Humanité :  « Quand le monde qui nous entoure est triste à pleurer, qu’il suinte l’ennui, il ne reste plus qu’à en rire. Éternelle leçon du cinéma comique et mise en application pratique ici. »

Mathieu

 

 

 

 

 

 

 

 

Deux demi-frères : Benoît Poelvoorde incarne « le plus vieux punk à chiens d’Europe » et Albert Dupontel, après avoir été un commercial dans le droit chemin, va désormais suivre les traces de son frère. Il craque après son licenciement et tous deux partent dans un road trip où le désespoir et le rire s’entremêlent en permanence. Inadaptés qu’ils sont (titre de la chanson de Cantat qu’on entend dans le film), ils errent sous les yeux désabusés de leurs parents (Brigitte Fontaine et Areski…), propriétaires d’une pataterie dans une banlieue commerciale. Bientôt ils voudront déclencher le « grand soir »…

Un critique a très justement décrit le film dans l’Humanité :  « Quand le monde qui nous entoure est triste à pleurer, qu’il suinte l’ennui, il ne reste plus qu’à en rire. Éternelle leçon du cinéma comique et mise en application pratique ici. »

Mathieu